Le repas électrique

Le repas électrique

Taille : 400 X 300 X 300 cm

Matériaux : bois, Matériaux divers de transport, de comptage et de contrôle électriques.

Performance présentée de 1982 à 88

• À l’école des Beaux Arts de Tourcoing,
• À l’école des Beaux Arts de Rouen,
• Au musée des Beaux Arts de Tourcoing,
• Au musée des Beaux Arts de Lille (dans le cadre de l’exposition “de Matisse à nos jours”)
• À Cherbourg – Arzimut

Crédits photographiques : Pascal Duthoit

Vidéo: José ALVARES et Gilbert PERLIN

Dans « Le repas électrique », le spectateur acteur est soumis à un protocole : il connaît le motif de l’invitation, mais ignore les sensations qu’il va vivre. Il est objet et sujet soumis à des manipulations dans un simulacre d’expérience scientifique. La configuration de l’espace met le spectateur non-acteur face au laboratoire de l’artiste semblable à un poste de transformation électrique qui soumet ses convives aux stimuli sensoriels, visuels, sonores, olfactifs, gustatifs, électriques de la machinerie. Les corps des invités sont intégrés au dispositif et sont connectés aux appareils de comptage et d’horlogerie. Les sensations perçues sont réelles, l’électricité en basse tension de faible puissance traverse leurs corps par l’intermédiaire des couverts électrifiés

► Lire le texte : « Danger de mort » de Florence Hudelist

► Lire le texte d’ Amos Fergombe à propos du Repas électrique

► Lire L’atelier en œuvre Hervé Lesieur, Eric Amouroux – 1998